Depuis le printemps 2020, de nombreuses familles jonglent avec les défis de l'apprentissage scolaire à distance, du télétravail pour l’une ou l’autre des parents. Et des périodes répétées d'isolement, comme le couvre-feu. En conséquence, les enfants passent beaucoup plus de temps devant les écrans, d’autant que leur garde diminue lors des confinements dans les grandes villes comme Paris ou Bordeaux. Or une intervenante au domicile parental sait occuper utilement un enfant.

J’ai découvert dans un article du New York Times qu’une amie m’a envoyé, que les experts s’alarment de l’augmentation du temps que les enfants passent devant un écran. Cet article cite notamment une étude scientifique, montrant un doublement de ce temps sur 2020. Le plus alarmant est que cette acuité numérique évolue à la hausse d’un mois à l’autre. La France ne fait pas exception, surtout en période de vacances scolaires.

Sur le compte Twitter du journal, un extrait souligne qu'un an après le début de la crise sanitaire, les enfants glissent dans une vie digitale dévorante, avec des conséquences potentielles à long terme.

L'attention positive est un moyen essentiel durant la garde de l'enfant pour mettre fin à la captivité devant les écrans

Le temps que les enfants passent devant les écrans est devenu un défi majeur pour les adultes. La garde d'enfants peut être un moyen d'aider à mettre fin à cette captivité, en recourant à une agence de baby-sitting compétente, ayant du personnel qualifié. C'est ce qui permet aux parents de se concentrer sur leurs obligations et leurs loisirs, tout en étant assurés que leurs enfants sont bien pris en charge.

Les baby-sitters qualifiés de l'agence peuvent également faire preuve de ce que l'on appelle l'attention positive. Cela implique d'enseigner aux enfants des comportements positifs et des compétences sociales, tout en les encourageant et en les incitant à explorer leur propre identité. Cette approche est essentielle pour éviter l’ennui et la captivité devant les écrans et encourager l’apprentissage et la croissance. Les baby-sitters qualifiés sont donc des partenaires précieux pour les parents qui veulent garantir que leurs enfants sont en sécurité et en bonne santé.

Comment les déshabituer avec douceur ?

En l’absence d’une garde d’enfant au domicile parental, de nombreuses familles ont assoupli les restrictions quant aux écrans. Ce qui semble légitime. La difficulté est que les limites ont fondu au fur et à mesure que les ordinateurs, les tablettes et les Smartphones se sont imposés comme pièces maîtresses de l'école et de la vie sociale. Si je comprends bien les conclusions des experts en psychiatrie-addictologie et toxicomanie, il y aura une période de retrait épique. A savoir que l’après crise pandémique exigera que les enfants de tous âges maintiennent leur attention dans des interactions normales, sans obtenir une récompense à intervalles réguliers. Ce que leur confèrent aujourd’hui les écrans. Les professionnelles de la garde d’enfant vont être projetées au premier plan, pour les accompagner dans cette espèce de retour à la vie normale.

Les enfants peuvent totalement s’adapter à une nouvelle situation, ils ont cette plasticité. Mais il va leur falloir la bienveillance d’une baby-sitter expérimentée pour les aider à trouver à nouveau satisfaction dans un monde hors ligne.

Si le logement parental offre un jardin, une terrasse ou un balcon suffisamment spacieux, les enfants peuvent profiter d'un moment d'activité physique. L'intervenante de l'agence périscolaire peut également l'amener au parc. L'important est que ce moment soit programmé au bon moment de la journée. La création de fiches d'activité est un point fort pour l'organisation d'une journée de garde d'enfant. Vous trouverez d'ailleurs dans l'article dédié à l'organisation d'une journée de baby-sitting, un modèle de planification.

Le problème du mimétisme de ce que les enfants voient

Dans l'article du blog de l'agence Garde d’enfants, pourquoi les enfants se conduisent mal, et comment réagir, il apparaît qu'ils apprennent en observant autrui, que ce soit un enfant ou un adulte. Aussi bien dans ce qu'il vie au quotidien, que dans ce qu'il voit à sur un écran. Or les enfants répètent ce qu'ils voient... Vous ne pouvez pas dans ce job étudiant limiter l'exposition de l’enfant à la télévision ou aux jeux vidéo, si les parents n'y sont pas favorables. Vous trouverez dans l'article ci-dessus, comment éviter le mimétisme négatif d'un enfant.

Les parents ne doivent pas culpabiliser

Il m’est évident que les parents ne doivent pas se sentir coupables de les laisser plus de temps d'écran. Trop de défis apparaissent en même temps dans les foyers parisiens ou lyonnais. Et sur l’ensemble du territoire français. Mais comment voulez-vous désactiver le Wi-fi quand vous-même en avez besoin en télétravail, ou qu’un Smartphone peut remplacer votre box… ?

De nouvelles habitudes sont apparues dans cette nouvelle réalité, et chaque famille connaît la sienne. En revanche, tous les parents vont expérimenter le même défi : il sera difficile de briser cette habitude. L’aide apportée par la jeune femme en charge de garder vos enfants, va devenir très appréciable, d’autant que le temps passé par les enfants de 9 à 12 ans sur les réseaux sociaux a augmenté de 82% en un an. Il y a évidemment une raison si vous entendez parlez de plus en plus souvent de TikTok par exemple.

Vers la libération des captifs numériques

Les enfants vont pouvoir se tourner vers leur baby-sitter que l’agence que vous avez choisie, parce qu’elle va leur apporter autre chose que de l’écran : des activités, voire des divertissements alternatifs ou périscolaires.

Vos enfants vont avoir une opportunité de perdre de leur captivité numérique. Car à terme, le coût qui sera supporté par une utilisation accrue en ligne, est associée à l'anxiété, à la dépression, à l'obésité et à l'agression. Cette jeune femme va devenir un heureux substitut au développement de vos enfants. Ce peut être par l’activité physique ou d'autres interactions qui les aident à apprendre à faire face à des situations sociales pouvant encore s’avérer difficiles.

Sans garde de vos enfants, que peuvent-ils sérieusement faire d’autres à longueur de temps ? Des puzzles, apprendre la couture, à tricoter ? Sérieusement ? Seule une baby-sitter peut remplacer le manque d’activité de l’après-midi. La technologie n’est pas une mauvaise chose, bien au contraire. Il ne faut simplement pas faire de nos enfants des natifs du numérique, plus qu’ils ne le sont.

Une maman prénommée Laura demandait comment faire la journée pendant des semaines consécutives, alors que le couple travaille à plein temps sans garde d'enfants. Vous avez la réponse dans la philosophie de l’agence !

L'aide aux devoirs est également une solution pour se libérer de l'emprise des écrans

Le rôle des baby-sitters, pour permettre aux enfants qu'elles gardent de se libérer de la captivité devant les écrans, est essentiel. Cela permet aux enfants de bénéficier d'une présence active et éducative loin des écrans, ce à qui répond favorablement l'aide aux devoirs, même si ce n'est pas la mission de l'agence. Elles peuvent néanmoins accompagner les enfants dans leurs devoirs scolaires et les aider dans leurs activités académiques, offrant ainsi un soutien supplémentaire. Notez qu'il ne s'agit pas de faire apprendre à l'enfant une nouvelle langue, il est bien question de devoirs scolaires. Cela contribue à l'épanouissement et au développement équilibré des enfants.

La garde d’un enfant devrait favoriser le temps plutôt que l’occuper…

Se mettre devant un écran exprime un besoin d'occuper son temps. Pourtant il pourrait être occupé au bénéfice de l'enfant. Sa garde devrait donc favoriser ce temps, en privilégiant au moins 100 minutes le contact avec la nature. Les chercheurs s'accordent pour dire que ces 100 minutes par jour à l’extérieur augment même la la confiance des enfants et les rendent plus curieux.