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Parents : la parentalité génère des anxiétés, et la garde périscolaire est une aide positive
En tant que mère, il me semble que je passe beaucoup de temps à imaginer toutes les choses terribles qui pourraient mal se passer pour mon enfant, et je serais surprise d’être la seule. Comme le dit mon mari, depuis le jour où j'ai ramené mon bébé à la maison, je me suis inquiétée : de le laisser tomber, qu’il attrape un rhume, que ses oreilles se décollent, etc. Il a grandi, et les inquiétudes ont changé avec l’âge. Maintenant il est question de sa scolarité, de ce qu’il vit à l’école. Est-ce que cela ne va jamais disparaître ?
Je suppose que vous êtes nombreuses dans mon cas. D’après ce que me disent les mamans, le fait d’utiliser les services de garde périscolaire de Happysitters aide beaucoup à lâcher-prise. Les inquiétudes sont encore différentes, mais un simple appel téléphonique sur le Smartphone de l’assistante parentale apaise les craintes immédiates.
Une pédiatre parle de la parentalité
Un peu par hasard, j’ai fait la rencontre d’une pédiatre consultant dans un hôpital de Paris, qui en plus est mère de 2 enfants. Ce dernier point est important pour mieux aborder les questions que les parents peuvent se poser. A celle de savoir si les inquiétudes vont disparaître un jour, elle me dit que non. La personne en charge de la garde périscolaire de votre enfant est une source de libération, elle décharge les mamans d’une partie des émotions. Mais nous n’échappons pas pour autant aux rouages de la parentalité, y compris la peur et l'anxiété.
Qu’il est dur d’être mère !
Il semble que suite à la crise sanitaire du coronavirus, la notion de cours à distance prennent de l’importance. Mais le prix de cet enseignement, cumulé à celui de la nounou, est un poids supplémentaire. Alors que la personne en charge de la garde périscolaire de l’enfant peut également s’en occuper. C’est une aide positive sur ce point.
L’intervenante de l’agence a le contrôle dès la sortie de l’école
Cette même pédiatre pense que la parentalité peut avoir son lot de frayeurs, parce qu’une maman craint l'inconnu. A titre personnel, je crois que l’ensemble des être humains peut être inclus dans cette sphère. Elle m’explique que, lorsque les enfants sont petits, vous faites tout ce qui est en votre pouvoir pour les protéger. Mais vous ne pouvez pas tout empêcher. Quand ils grandissent, vous avez encore moins de contrôle.
Heureusement, avec la garde après l’école, une tierce personne est présente aux côté de l’enfant quand aucun des parents n’est là pour le protéger, que ce soit dans les rues de Paris ou à domicile. Une espèce de transfert s’effectue entre les parents et l’intervenante, et c’est rassurant.
En matière de complément d’apprentissage scolaire, la nouvelle mode internationale est le pod. Je la caractérise de nouvelle tendance pandémique. Mais il manque un adulte, et tout le monde n’a pas accès au contenu pédagogique. Tout dépend de la politique éducative des régions et des départements.
Les avis des mamans et de la pédiatre
J'ai parlé à d'autres parents de ce sujets, et je viens de résumer ce qu’ils vivent. Même si les mamans ont un tropisme pour s’inquiéter davantage que les papas. Question de génétique sans doute ? Quoi qu’il en soit, ces inquiétudes ne sont pas inhabituelles, et la pédiatre suggère qu’une maman doit faire face à des peurs spécifiques que les papas n'ont pas.
La maladie
Si vous craignez que votre enfant ne contracte une maladie, vous n'êtes pas seule ! Sur ce point, cette pédiatre a donné du sens à la réflexion d’une assistante périscolaire qui avait vu juste. A savoir que, heureusement, beaucoup des maladies qui nous effrayent le plus sont en définitives rares. Et la spécialiste de rajouter : « et elles peuvent être traitées ».
Les blessures et les accidents
Si vous êtes comme la plupart des parents, votre crainte est que votre enfant soit blessé ou victime d’un accident. Les intervenantes de l’agence Happysitters étant formées aux premiers secours, et leur activité étant justement de veiller sur les enfants qu’elles gardent dès la sortie de l’école, il y a plus de probabilité qu’il se blesse dans la cadre d’une activité familiale que périscolaire.
Voilà qui enlève un sacré poids ! Surtout que votre assistante sait comment réagir à une urgence médicale impliquant votre enfant : appeler les pompiers. Ne lui demandez jamais de l’emmener chez un docteur ni à l’hôpital, la législation l’interdit. Une assistante parentale ne peut qu’appeler les pompiers, à charge pour eux de prendre en charge l’enfant.
Un jeu d’enfant pour une adulte !
J’ai échangé avec une maman qui avait peur pour son enfant, dans le chemin de l’école au domicile. Elle a été rassurée quand elle a compris qu’avec l’accompagnement dès la sortie de l’école, une adulte a toujours la responsabilité de surveiller son enfant. De même, cette charmante pédiatre m’a citée une étude disposant que, statistiquement, cette possibilité reste marginale, même sans la présence d’une adulte. Alors avec une intervenante Happysitters...
Cette présence est également très favorable aux enfants plus âgés,comme les préadolescents, sachant que dans le système français ils vont toujours à l’école primaire jusqu'à la 6ème. Des psychologues expliquent que la garde périscolaire apporte encouragements et réconfort, en complément de la sécurité. Ce qui est très important en période de distanciation sociale. Ce réconfort s'affiche comme un substitut au manque de toucher et de contacts sociaux.
Même lorsque nous faisons de notre mieux pour protéger nos enfants, nous pouvons craindre que cela ne soit pas suffisant. Mais elle me rappelle qu’ils doivent faire preuve de résilience, ils doivent apprendre à leur manière et avec leurs expériences à face à l'adversité ou se remettre d'un traumatisme. Ils sont forts et naturellement résilients, et même si je pense à titre personnel que tout ce que nous faisons les façonne ou les affecte, cela n’est vrai que dans une certaine mesure.
Quoi qu’il en soit, n’hésitez pas à parlez de vos inquiétudes à votre intervenante.
La communauté pédagogique après l'école
D’une certaine façon, cette émotion peu agréable génère un autre souci pour les parents devant faire face au distanciel. Habitués au présentiel pour suivre la parcours scolaire de leurs enfants, ils se heurtent parfois au souhait des autorités pédagogiques de favoriser la visioconférence. Aussi bien pour les conseils que les suivis, etc. Quand le lien relationnel qu’ils avaient avec les enseignants de leurs enfants est rompu, les équipes éducatives remarquent un faible investissement. Dans ce contexte, la personne en charge de la garde périscolaire apporte tout ce qui manque : l’accompagnement personnalisé de l’enfant et une forme de communauté pédagogique.
L'impact global de la garde périscolaire de qualité sur le moral est positif
En équilibrant travail et parentalité, les familles se sentent parfois stressées et anxieuses, risquant ainsi d'affecter leur propre bien-être physique et moral. La garde périscolaire de qualité intervient ici comme un soutien majeur. Conscient de cette réalité, l'agence propose un service de garde sûre, faisant des heures de mission à votre domicile des moments d'apprentissage positif. Les intervenantes qualifiées stimulent la curiosité et la créativité de vos enfants, soulageant ainsi votre anxiété. Les services périscolaires contribuent bien à équilibrer l'anxiété des enfants et des parents!C'est un équilibre qui résonne à la maison, ayant des implications positives sur le moral de toute la famille. La mission consiste à assurer l'épanouissement de vos enfants, tout en allégeant le stress du rôle parental.