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Parents : la garde périscolaire et la communauté pédagogique


Avec la crise sanitaire, les parents ont perdu le lien relationnel qu’ils avaient avec les enseignants de leurs enfants. Certains disent même ignorer à quoi il (elle) ressemble ! Beaucoup de familles sont un peu perdues, surtout qu’il n’existe aucun suivi personnalisé de la scolarité de l’enfant à partir d’un certain âge. L’Education Nationale veut éviter les brassages dans les établissements scolaires, si bien que les parents sont réduits au minimum syndical quant aux contacts avec les enseignants. Le distanciel prime sur le présentiel, en témoignent les pods.

Le distanciel génère une baisse de l’investissement

Une institutrice a même reconnue devant la Presse que cette absence de lien génère un manque d’intérêt des parents pour la scolarité des enfants, en ce sens qu’ils s’investissent moins dans son parcours à l’école. La garde périscolaire peut aider à accompagner les enfants, avec le suivi personnalisé manquant vis-à-vis du cursus. Si la visioconférence est devenue le standard pour les rencontres scolaires (conseils, pods, etc.), l’intervenante est physiquement présente à votre domicile. Un apport complémentaire et personnalisé est possible, pour aider les enfants que garde le personnel de l’agence.

Un accompagnement personnalisé

En l’absence d’activité après l’école n’étant plus possibles, la garde périscolaire s’affiche comme un temps de suivi pédagogique de l’enfant très utile. Elle est devenue l’apport personnalisé. La jeune femme intervenant au domicile des parents reste une nounou dédiée à la garde de votre enfant, mais gagne « le badge » de membre de la communauté éducative ! Elle apparaît comme une solution efficace à la distance qui vient grever la relation des parents avec l’école de leurs enfants.

Outre la notion d’accompagnement, il faut également savoir que la fréquentation des services de garde périscolaire et la réussite des enfants devenus adultes sont liées. Si des parents ne m’avaient pas fait envoyé cette recherche internationale, je n’aurais jamais soupçonné un tel impact entre cette prestation et leur succès. Les conséquences sont établies pour l'obtention du diplôme d'études secondaires, ainsi que pour les revenus provenant d’un emploi arrivé à l’âge de jeune adulte. Une étude de 30 années profitant de chiffres gouvernementaux est fiable. L’accompagnement est davantage dédié à la réussite immédiate. Le système de garde à domicile manifeste ses effets positifs au plus tôt à 16 ans, au plus tard à 30 ans.

Prendre le temps une fois chez vous

Il faut reconnaître que le couvre-feu n’arrange rien, chacun se dépêchant d’arriver au domicile pour éviter un contrôle de police. Au bout du compte, plus personne n’a le temps d’échanger, ce qui est dommageable pour les enfants avec des difficultés spécifiques (matières, etc.). Le personnel de l’agence de garde périscolaire Happysitters est alors une source d’activité pédagogique complémentaire avec laquelle les familles peuvent compter.

Notez que dans le cadre d’une garde après l’école, il ne s'agit pas de tutorat mais simplement d'une aide. Le concept pédagogique est présent, mais en termes d’accompagnement. Il peut s’agit d’une langue étrangère comme d’une activité manuelle ou intellectuelle (échecs, etc.).

La jeune femme en charge de la garde après l’école de votre enfant est consciente que cette année scolaire est très différente pour les familles et son propre job. Voilà pourquoi outre son accompagnement personnalisé, elle porte attention à la sécurité de tous, s’adapte aux horaires scolaires de chaque école et s’organise face aux obstacles logistiques (couvre-feu, etc.). Tout ceci en plus des surprises habituelles en matière de garde d'enfants qu’elle a toujours dû gérer.

Aussi, peu importe ce que cette nouvelle année réserve pour vous et votre famille, l’agence a rassemblé des ressources pour vous aider à traverser de nombreux scenarii.