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Après une enquête approfondie, l'inspection générale des affaires sociales a publié un rapport en 2023 identifiant la détérioration significative de la qualité dans les établissements de garderie pour enfants, mentionnant particulièrement les crèches classiques et les établissements interentreprises. L’enquête révèle de sérieuses irrégularités, comme des cas de maltraitance, des repas insuffisants pour les enfants, du personnel mal formé et/ou en nombre insuffisant. Pour illustrer avec un public d’enfants capables de marcher – ce qui est le public de votre agence de garde périscolaire –, il faut 1 professionnel(le) pour 8 enfants. Aussi bien dans le public que le privé.

Ces lacunes semblent provenir principalement des difficultés à recruter des employés qualifiés. A mon avis, le cœur du problème est surtout dans la recherche de profits, primant sur le bien-être des enfants. Une structure comme Happysitters peut créer des activités au domicile des parents, qui plaisent nécessairement à l’enfant, et peut prévoir des sorties pour que vos enfants respirent et courent.

De plus, les crèches privées sont souvent adossées à des groupes d'investissement capitalisés à plusieurs milliards d'euros, ajoutant une pression supplémentaire pour la rentabilité. Ce à quoi échappe une agence de garde après l’école, pour la plus grande joie des famille !

Une agence de garde périscolaire axe ses services sur la qualité et le bien-être des enfants

Heureusement pour les parents à la recherche de services de garde périscolaire, la situation est radicalement différente avec une agence. Pour illustrer, elle ne s'occupe que de VOS ENFANTS. Elle met également l'accent avec rigueur sur la qualité du service de baby-sitting et le bien-être des enfants. Contrairement aux crèches, une structure de garde périscolaire réussit à maintenir une qualité de service élevée grâce à une meilleure gestion des ressources humaines, avec une politique active de recrutement et de formation continue pour leur personnel : les intervenantes résident dans une zone proche du domicile des parents. Puis l’agence soumet à leur choix une liste de candidates pour qu’ils sélectionnent la baby-sitter les rassurant le mieux.

Il ne peut y avoir de sous-effectif avec une agence : si aucun personnel résidait dans une zone du domicile des parents, la mission serait déclinée. Le risque inhérents aux crèches est donc totalement absent des services de garde périscolaires.

Concernant les actionnaires, Happysitters est une structure indépendante, libre de toute pression des fonds d'investissement, ayant pour vocation première l'épanouissement et le bien-être des enfants.

Le rapport soulève également le problème du manque de places dans les crèches, estimant une pénurie de 200 000 places sur le territoire. L’agence offre ses services uniquement sur Paris et Lyon, échappant ainsi à cette course au niveau national. Elle peut ainsi focaliser ses efforts dans la recherche de baby-sitters sur des villes spécifiques et des environnements précis, dont les quartiers.

L’agence de garde périscolaire semble maîtriser un autre problème que vivent des crèches : les horaires. La gestion de l’emploi du temps est plus flexible et adaptée à la situation de chaque famille. Concernant le modèle économique des agences, le système ne repose pas sur la Prestation de Service Unique (PSU) de la CAF, qui est proportionnelle au nombre d'enfants inscrits. Cette subvention encourage le surbooking des crèches privées. Cette différence majeure permet au parents confiant leurs enfants à Happysitters, un suivi beaucoup plus personnalisé, voire sur mesure, et donc une meilleure qualité de service.

Le reportage d’une journaliste

Un récent reportage d’une journaliste de France Inter a fait état de préoccupations concernant la maltraitance infantile dans une crèche privée inter-entreprise, subventionnée par l’employeur. Son reportage rapporte qu'un jeune enfant avait été laissé sans soin avec des signes visibles de blessures autour de l'œil, que le personnel a d’ailleurs tenté d'expliquer par une simple chute. Cette explication est mise en doute par un médecin des urgences d’un hôpital, lequel affirme à cette maman qu’ « à un certain âge l’enfant ne tourne pas la tête en tombant, et que le nez prend sans se faire mal à l’œil ».

La directrice de la structure de garde d’enfants l’aurait menacée de conséquences importantes, sans en préciser le détail. Il est facile de penser qu’il s’agirait de son emploi, bien que ce ne soit que spéculation ici. L’employeur n’a pas pu faire autre chose que lui communiquer un compte-rendu de la crèche. Après une plainte, le dossier est classé sans suite 2 ans plus tard. L’enfant manifeste des troubles neurologiques depuis cet événement. Ce type de situation laisse de nombreux parents inquiets quant à la sécurité de leurs enfants dans de tels environnements de garde.

Fort heureusement, la situation est nettement différente pour l’agence de garde périscolaire : ces services attachent un poids considérable à l'intégrité et à la sûreté de leurs petits protégés. Happysitters fait plus que garantir un ratio approprié entre le personnel et les enfants, puisque chaque baby-sitter ne garde que les enfants de votre famille, et à votre domicile - il est possible d’aller chercher l’enfant à l’école -. L’autre conséquence du système de l’agence est de vous assurer qu'aucun de vos enfants reste sans surveillance ou sans accompagnement. Cette politique réduit considérablement le risque de situations où un enfant pourrait se blesser gravement, comme cela fut rapporté dans le cadre de cette crèche privée. Chaque intervenante bénéficie d’une formation aux premiers secours.

Il est utile de préciser qu’en contraste frappant avec le cas rapporté dans le reportage de la journaliste, l’agence favorise une communication ouverte et transparente entre les intervenantes, les enfants et les parents. Les parents doivent se sentir libres de discuter de toutes préoccupations ou inquiétudes, et avoir la certitudes que leurs éventuels questionnements seront pris très au sérieux.

Pour en revenir aux bénéfices, l’agence de garde périscolaire acquière une certaine sécurité grâce à son indépendance financière. Contrairement aux crèches privées qui, comme dans le cas évoqué par la journaliste, peuvent être subventionnées par des employeurs et donc sujettes à des pressions financières ou à des conflits d'intérêts, une structure indépendante peut se permettre de prioriser la sécurité et le bien-être des enfants sur toute autre considération.

Pour les parents préoccupés par la sécurité de leurs enfants et à la recherche de services de garde sûr et fiable, les agences présentent une alternative rassurante en comparaison des crèches privées. Elles garantissent une surveillance adéquate, un personnel formé et une communication ouverte.