Il est possible que l’été soit consacré davantage au travail qu’aux vacances, du moins cette année. Ces dernières pouvant être raccourcies. Vous allez donc avoir besoin d’une nounou. Habituellement, il s’agit d’une saison plus difficile pour les familles, les professionnelles prennent des congés. En raison de la nette baisse d’activité due au COVID-19 de mars à mai, il est probable qu’une partie souhaite reprendre leur activité.Ce qui pourrait simplifier votre recherche, selon votre ville de résidence.

Si vous restiez sur Paris, non seulement la vôtre pourra divertir l’enfant tout au long des longues journées d'été, mais en plus la rentrée scolaire serait plus simple pour ce petit protagoniste. Tout serait dans la continuité, elle pourrait l’amener à l’école ou allez le chercher. Il serait familiarisé avec elle, ce qui fait moins de nouveautés à gérer en septembre également.

Commencez à chercher tôt

Chercher dès les mois de mai

Je sais qu’en général les familles préfèrent payer directement des étudiantes, durant les mois d’été. Puis faire appel à l’agence dès la rentrée. Voici peut-être l’occasion ce trouver votre nounou dès le mois de mai ou juin.

Ne pas compter sur les grands-parents

Surtout qu’il sera probablement sage de limiter encore un peu les longs rapports avec les grands-parents. L’intervenante prend alors toute son utilité. Et si vous ne travailliez pas, vous serez sans doute heureux d’avoir du temps de libre pour vous, après plusieurs mois de confinement avec les enfants. Vous les aimez bien sûr, mais pouvoir de nouveau retrouver un brin de liberté, faire les magasins… Des moments de bonheur maintenant seulement pour vous !

La meilleure nounou se trouve avant le mois de juin

Les statistiques de l’agence montrent que les familles cherchent une nounou à partir de fin juin, ce qui est un peu tard. Surtout si vous désirez pouvoir sélectionner des candidates comme en période normale. Il est fort probable que les meilleures disponibilités et qualifications soient retenues par les premiers parents.

Commencez à chercher fin mai, début juin. Du moins cette année. En temps normal je suggère des contacts dès le début du mois de mai. Des familles prévoyantes tablent sur la sécurité, et partent en quête dès le mois d’avril.

Privilégiez un ensemble de compétences pour l’été

Outre les compétences traditionnelles que vous retrouvez durant l’année scolaire, celles de la nounou d’été doivent comporter des aptitudes pour les activités quotidiennes sans école. Toutes les intervenantes ne sont peut-être pas à l’aise avec l’accompagnement des enfants à la piscine par exemple. D’autres peuvent avoir des tropismes spécifiques, comme les parcs, les musées, etc.

Quoi qu’il en soit, surtout après 2 mois de confinement, trouvez une jeune femme active, aimant être à l'extérieur.

N’oubliez pas l'interview !

A force de rester chez soi…

Quand les habitudes sont perturbées et que d’autres routines s’imposent à tout un chacun, temporairement mais suffisamment longtemps, il est facile d’oublier les réflexes. Je suis la première à le vivre, j’imagine que je ne suis pas la seule. Aussi, dans un élan de recouvrance de liberté, il est encore plus facile d’oublier de rencontrer la ou les candidates.

Observez la candidate

Même s’il ne s’agissait que de l’été, votre nounou aurait toujours la responsabilité de votre enfant. Apprendre à la connaître au cours d'une interview est légitime. Rencontrez-la dans un parc local ou, si vous êtes à l'aise, invitez-la à votre domicile. Vous la verrez notamment interagir avec l’enfant dans son élément.

Quelle type de question ?

Essayez de ne pas poser de questions fermées, comme celles auxquelles la réponse est oui ou non. Ces questions empêchent la conversation de s'étendre, et les parents ne connaissent pas vraiment la jeune femme. Utilisez plutôt des questions ouvertes qui bâtissent le dialogue.