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Parents : avez-vous accès au service de baby-sitting d'une agence ?


Les grèves dans les établissements scolaires montrent l’embarras des familles sans solution de baby-sitting couvrant leurs horaires de travail. Les services d’une agence apportent une seconde protection quand l’enfant n’est pas à l’école à partir de 14H00 en semaine, et à partir de 20H00 quand il est seul au domicile parental. Les problèmes les plus lourds subis par les mineurs, tout fait confondu, surviennent à 47% en semaine à partir de ces horaires. Il est donc important d'encadrer les enfants après l'école. Mais les parents ont-ils accès à ces services facilement ?

Des disparités dans l'accès au service de baby-sitting d'une agence

Une enquête nationale sur le baby-sitting des enfants en âges d’aller à l’école primaire, indique que le pourcentage des protagonistes profitant de ces services diminue régulièrement avec l'âge. Le taux à la maternelle est de 22 % à la maternelle, puis 14 % dans le cycle suivant, puis 6%. Les parents estiment que l’enfant grandit et peut se prendre en charge. Ce qui est moins vrai dans les villes majeures comme Paris ou Lyon.

D’autres différences séparent les choix offerts aux parents, selon l'endroit où ils vivent. Plus la famille habite loin d’une grande ville, ou du centre-ville d’une commune de taille moyenne, plus l’accès à une offre d’une baby-sitter professionnelle diminue. Un autre constat amplifie cette remarque : les milieux ruraux et à faibles revenus sont largement en manque d’opportunités de services de garde après l’école. A la fois par manque de candidates sur place, ou par l’absence de moyens de locomotions flexibles. Les quartiers à faibles revenus sont les lieux où les enfants ont le plus besoin de sécurité. La baby-sitter ne se contente pas de lui offrir ce confort, elle les aide à épanouir leurs compétences et leurs talents.

L'étude nationale sur la garde avant et après l'école constate que 41 % des familles ne trouvent pas de solution de baby-sitting professionnelle. Les chercheurs ont interrogé les parents dont les enfants sont âgés de 5 à 8 ans, avec pour question de savoir quels étaient les obstacles qui les empêchent d'utiliser les services d'une agence. Près de la moitié des parents (43 %) cite le prix, sans néanmoins mettre en évidence leur connaissance des aides de l'Etat, voire de l'employeur. Un autre chiffre important est 16 %, se référant aux problèmes de transport de la baby-sitter. Pour éviter cette problématique Happysitters vous propose une liste de 3 candidates habitant ou résidant le plus proche possible de votre quartier, sur Lyon (pour illustrer).

Quels sont les éléments décisionnels ?

L'étude se demande à l'inverse quels sont les facteurs faisant basculer le choix des parents, pour choisir une solution d'agence de baby-sitters. Sans surprise, les résultats sont identiques aux choix pour les services de garde à la petite enfance :

Le flexibilité des horaires de baby-sitting sont essentiels dans le service de garde de votre enfant. Des événements imprévisibles peuvent surgir, c’est pourquoi le but d’une agence est aussi de vous éviter des absences au travail. En été la mission est importante vis-à-vis de votre enfant, d’où les sorties dans un biotope naturel, en plein air. La baby-sitter recherche une prestation plus holistique pour votre enfant.

Les aides de la CAF résolvent certaines difficultés, mais les problèmes de la formation des baby-sitters demeurent souvent. L'agence Happysitters la leur assurent, notamment parce qu'elle représente une sécurité pour les parents et une plus-value pour les enfants.

La garde des enfants se faisant au domicile des parents, le problème de l'espace est résolu également. Tous les lieux ne sont pas conçus pour la baby-sitting, ce qui impacte parfois la qualité de la prestation. Mais le domicile parental et quelques sorties au grand air apportent tout le bienfait dont les enfants ont besoin, dans le cadre de l'après-scolaire.

Des sondages récents montrent que la plupart des foyers français pensent que les enfants devraient profiter d'activités au grand air. Les familles seraient prêtes à payer plus cher une prestation, voire plus d'impôts (80% des personnes interrogées !), pour accroître l'accessibilité au concept. Finalement, l'agence présente beaucoup d'avantages ! Et quand le baby-sitting n'est pas possible, que restent-il aux familles ? L'étude montre que 72 % des parents souhaitent que les écoles restent ouvertes plus longtemps après les cours, mais je crois que cette flexibilité reste du côté des solutions de garde privées...