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Baby-sitter : pourquoi ne décrochez-vous pas le job ?


Il existe des régions en France où le nombre de candidatures est supérieur au nombre de familles à la recherche d'une baby-sitter. En revanche, d'autres lieux comme Paris et le département 92, mais pas uniquement, ce ne sont que des exemples, ne connaissent ni pénurie de demandes ou d'offre. Si vous avez la chance d'habiter dans l'une de ces zones, votre job est quasiment assuré si vous correspondez au profil attendu.

Pourtant, certaines jeunes femmes n'arrivent pas à le décrocher. Quand l'agence présente aux familles votre nom dans la liste des 3 candidates pré-sélectionnées, parce qu'il semble que vous convenez à leurs critères, notamment la zone géographique, vous pouvez évidement faire face à une concurrente communiquant mieux que vous ou faisant meilleure impression. Ceci peut se produire. En revanche, si votre candidature n'est jamais retenue, c'est que vous abordez mal quelque chose. Il faut donc vous interroger : pourquoi n'avez-vous pas été choisie ?

Ce n'est pas personnel, mais parfois remettez-vous en question

La situation concerne tous les prestataires de services, pas uniquement les baby-sitters : trouver le bon travail et la bonne famille implique de nombreux facteurs, dont beaucoup sont tout simplement hors de votre contrôle. Votre mission implique de l'intimité, et des émotions sont en jeu auprès des mamans. Aussi, face à un rejet de votre candidature, ne le prenez pas pour vous, ce n'est certainement pas personnel.

Toutefois, considérez que vous commettez certaines infractions, et qu'elles peuvent vous empêcher d'accéder au job. Si à la troisième présentation de votre nom sur la zone de Paris ou du 92 vous n'avez pas été acceptée, essayez de vous remettre en question et de voir en quoi vous avez été en infraction avec les attentes des parents ; ce peut être sur votre style avec les enfants, etc.

Vous avez demandé trop d'argent

Le job de baby-sitter est codifié, et si vous acceptez que l'agence vous propulse au-devant des familles, vous acceptez également les codes. Déjà, les tarifs sont fixés par avance et vous ne pouvez pas en imposer d'autres lors de l'interview. Sachez que les interventions sont payées moins que le SMIC, la réglementation est ainsi faite ! Les familles ont des droits et des devoirs, et leurs droits leur donne parfois accès à des aides, lesquelles dépendent de ce qui leur est facturé. Aussi, une candidate qui demanderait au minimum 25 € de l'heure n'a aucune probabilité d'avoir le job.

Vous ne pouvez pas négocier ni prétendre à fixer des prix librement. Par ailleurs, sans expérience, vous n'auriez pas beaucoup de pouvoir de négociation... La meilleure attitude consiste à accepter les règles et les codes qui s'imposent à toutes les professionnelles. Sachez que même une assistante maternelle qualifiée peut ne facturer que 600 € mensuels pour un job à plein temps.

Notez que même une étudiante est soumise à la même tarification qu'une assistante parentale avec 7 ans d'expériences. Donc, ce qui peut sembler injuste d'une part est plutôt agréable en regardant sous un autre angle. Soyez sur le bon versant de l'image !

Vous n'étiez pas la bonne personne

Cela peut se produire : vous n'étiez tout simplement pas la meilleure candidate aux yeux des parents. Ce n'est pas une signal négatif, selon lequel vous seriez incapable de mener à bien ce type de mission, une maman peut vouloir être proche de quelqu'un avec plus d'expérience avec des enfants du même âge que le sien. Le petit détail peut faire la différence, même si la personne retenue était moins expérimentée que vous ne l'êtes. Par extension, retenez que l'expérience ne fait pas tout, ce qui représente peut-être une chance pour vous, surtout si vous êtes étudiante.

Sachez que pour éviter ce type de rejet, Happysitters affine vraiment la liste des candidates présentées. Il ne sert à rien d'être présente à toutes les demandes, il s'agit d'optimiser vos chances en ne vous mettant en avant que si vous avez les critères requis.

Si vous n'avez pas beaucoup d'expérience dans le baby-sitting, soyez vendeuse dès le début de la rencontre. Même si vous êtes moins expérimentée que les autres candidates, vous êtes tout à fait capable de décrocher le job. La confiance et les formations acquises peuvent vous permettre d'obtenir votre première opportunité.

Votre apparence

L'apparence joue un rôle auprès des mamans. Elle importe dans la mesure où elle suggère comment une candidate se comporte dans la vie, et quel modèle le ou les enfants des parents considérés auront avec vous. Vous devez avoir conscience de votre présence globale (la présence va au-delà de la simple apparence).

Votre apparence et votre manière d'être reflète l'énergie que vous allez apporter au domicile familial. Cela compte beaucoup dans le choix final. Adoptez une attitude assurée et professionnelle.

Vous n'allez pas aux rendez-vous

Avoir un excellent curriculum vitae, des références solides et toute l'expérience du monde ne vous garantit pas de décrocher le job de baby-sitter, malgré les demandes à Paris ou dans le département des Hauts-de-Seine. Si vous n'allez pas à l'interview ou si vous arrivez en retard, vous montrez votre absence de fiabilité, ou le fait que vous ne savez pas gérer votre temps, ou que vous ne le valorisez pas. L'interview doit faire ressentir la confiance que vous avez en vous, or votre absence laisser supposer une lacune.

Si vous n'avez pas encore eu de job dans le baby-sitting, ne vous découragez pas. Peut-être ne connaissiez-vous pas Happysitters ? Vous allez voir, votre parcours va devenir plus simple car vous êtes prise en charge. Vous pouvez faire confiance au processus de sélection interne. Si vous êtes déjà inscrite à l'agence et que vous résidez à Paris ou dans le 92, restez confiante et travaillez sur les points évoqués plus haut ! En attendant, nous recherchons ce qu'il y a de mieux pour vous.